Un petit poème de mon cru pour accompagner l’un des plus beaux opéras germano-français : Faust ( vidéo en bas à droite de l’image d’en tête).
L’ombre de Faust et du vil Baphomet,
planent avec langueur sur l’aube pleine ;
et les nuées d’argent, sur les sommets
vaniteux, animent toutes les peines.
L’espoir déchu et les ambitions,
oui, les sales ambitions des hommes,
mêlent l’ivresse et la perdition
à l’âme ; la dissipe, la consomme.
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